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elon la FNAIM, un recul des prix de 3% à 4% en 2014 est à prévoir ainsi qu’un nombre de transactions à la baisse. Les taux de crédits immobiliers devraient quant à eux remonter légèrement. Cette dernière annonce est la moins surprenante compte tenu des taux exceptionnellement bas que nous avons connus l’an dernier.
Pour les primo accédants, il en résulte le risque de voir leur rêve d’acquisition partir en fumée. Ils étaient déjà 11 % de moins en 2013 par rapport à 2012. Par voie de conséquence, seule une baisse significative des prix de vente pourrait venir compenser cette hausse des taux d’emprunt et permettre à ces derniers une accession à la propriété.
Tous les analystes du marché convergent vers le même point de vue : la tendance constatée en 2013 devrait se prolonger, voire s’intensifier, en 2014. Cependant, certaines données restent imprédictibles: le taux de chômage, le taux de croissance, le moral des français, les différentes lois sur le logement… et pourraient bien venir modifier ce pronostic.
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